Index égalité professionnelle femmes-hommes 2022

Chaque année, toutes les entreprises d’au moins 50 salariés doivent calculer l‘index de l’égalité professionnelle en mesurant l’écart global de rémunération entre les femmes et les hommes sur une période de 12 mois et le rendre public, avant le 1er mars. Cet index est une note sur 100 points, calculée à partir de 4 ou 5 indicateurs en fonction de la taille de l’entreprise.

Sérénitarn obtient pour l’année 2022 un résultat global de 79/100 qui est détaillé ci-dessous :

–       Indicateur relatif à l’écart de rémunération : 39/40

–       Indicateur relatif à l’écart de taux d’augmentations individuelles (hors promotions) : 20/20

–       Indicateur relatif à l’écart de taux de promotions : 15/20

–       Indicateur relatif au % de salariées ayant bénéficié d’une augmentation dans l’année suivant leur retour de congé maternité : 0/15

–       Indicateur relatif au nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 salariés ayant perçu les plus hautes rémunérations : 5/10

Pour l’année 2023, au 31/03/2023, l’objectif fixé est l’atteinte d’une note globale au moins égale à 85/100.

Objectifs de progression pour l’indicateur relatif à l’écart de rémunération

Sérénitarn rappelle son attachement à un respect du principe d’égalité salariale entre les femmes et les hommes. Elle rappelle également le principe selon lequel tout employeur est tenu d’assurer pour un même travail, ou pour un travail de valeur égale, l’égalité de rémunération entre les femmes et les hommes.

Sérénitarn s’engage à veiller à une stricte égalité professionnelle des hommes et des femmes dans l’application des grilles des classifications des emplois conformément à l’avenant 43 de la convention collective du 21 mai 2010. Ainsi, Sérénitarn se fixe comme objectif, comme c’est le cas actuellement, de s’engager à veiller à l’égalité professionnelle de rémunération à l’embauche des femmes et des hommes pour atteindre 40/40 lors du prochain calcul de l’index.

Objectifs de progression pour l’indicateur relatif au % des salariées ayant bénéficié d’une augmentation dans l’année suivant leur retour de congé maternité

Sérénitarn rappelle que le congé de maternité est considéré comme du temps de travail effectif pour :
– la détermination des droits liés à l’ancienneté ;
– le calcul des congés payés.
Par conséquent, Sérénitarn poursuit son engagement à neutraliser les incidences financières que peuvent avoir le congé de maternité sur l’évolution des rémunérations des femmes. En particulier, pendant ou à l’issue de la période de suspension du contrat de travail pour maternité les salariées bénéficient des mêmes augmentations générales qui pourraient être accordées au sein de l’association aux autres salarié(e)s relevant de la même catégorie professionnelle. Ainsi, Sérénitarn se fixe comme objectif de contrôler l’impact de ses absences sur les rémunérations pour s’assurer que ces dernières ne neutralisent pas les augmentations auxquelles les salariées pourraient prétendre.

Objectifs de progression pour l’indicateur relatif au nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 salariés ayant perçu les plus hautes rémunérations

Il est rappelé que notre secteur d’activité est un secteur hautement féminisé et que par conséquent nous n’avons pas identifié des leviers d’actions pour faire progresser cet indicateur c’est-à-dire augmenter la proportion du sexe sous-représenté – les hommes – dans les 10 plus hautes rémunération compte tenu à la fois de notre budget contraint par le Conseil Départemental du Tarn et de l’application des règles conventionnelles en termes de salaire à l’embauche ou de promotion.
Sérénitarn se fixe donc comme objectif de maintenir la note de 5/10 sur cet indicateur.

(dernière mise à jour : 31/03/2023)